« Bouturage du figuier » : différence entre les versions

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Le fait que la bouture ait ou n’ait pas de bourgeon terminal n’a pas d’importance.
Le fait que la bouture ait ou n’ait pas de bourgeon terminal n’a pas d’importance.


On obtient ainsi de bons résultats, de l’ordre de 60 % de reprise.
On obtient ainsi de bons résultats, de l’ordre de 60 % de reprise
----Cette méthode est simple et efficace, lorsqu’on a une bonne quantité de rameaux à mettre bouturer.


Cette méthode est simple et efficace, lorsqu’on a une bonne quantité de rameaux à mettre bouturer.
Dans le cas où on ait très peu de rameaux, et qu’on veuille maximiser ses chances, diverses méthodes s’offrent à vous (dont la méthode avancée expliquée [https://wiki.e-fruitiers.net/index.php/Une_m%C3%A9thode_avanc%C3%A9e_de_bouturage_du_figuier ici] ).
----Dans un esprit plus amateur, et avec néanmoins un contrôle de température et d’humidité adéquats lors des différents stages de développement de la bouture, voici une autre façon de procéder, qui vous approchera aussi des 100% de réussite :


Dans le cas où on ait très peu de rameaux, et qu’on veuille maximiser ses chances, diverses méthodes s’offrent à vous (dont la méthode avancée expliquée [https://wiki.e-fruitiers.net/index.php/Une_m%C3%A9thode_avanc%C3%A9e_de_bouturage_du_figuier ici] ).
Toujours fin février, nous prélevons des rameaux d’un an, pourvus de 3 à 5 yeux.
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Nous nous munissons ensuite d’une bouteille en plastique.


Nous pratiquons une découpe du haut de la bouteille, sur environ 5/6 du diamètre :
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Nous perçons plusieurs trous de drainage dans le fond de la bouteille
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Et de la pointe du couteau, un petit trou d’aération dans la partie supérieure de la bouteille, à proximité du goulot :
[[Catégorie:Techniques de greffe]]
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Version du 28 décembre 2022 à 15:04

Le figuier se bouture de façon traditionnelle à la fin du mois de février.

On prélève des rameaux de 3 à 5 yeux, sur du bois d’un an.

On met à bouturer (bouture simple, pas de crossette ou talon) en pleine terre ou en pot, avec éventuellement de l’hormone de bouturage.

La bouture est enterrée de façon à ce que la moitié des yeux soit au moins sous terre.

Le fait que la bouture ait ou n’ait pas de bourgeon terminal n’a pas d’importance.

On obtient ainsi de bons résultats, de l’ordre de 60 % de reprise


Cette méthode est simple et efficace, lorsqu’on a une bonne quantité de rameaux à mettre bouturer.

Dans le cas où on ait très peu de rameaux, et qu’on veuille maximiser ses chances, diverses méthodes s’offrent à vous (dont la méthode avancée expliquée ici ).


Dans un esprit plus amateur, et avec néanmoins un contrôle de température et d’humidité adéquats lors des différents stages de développement de la bouture, voici une autre façon de procéder, qui vous approchera aussi des 100% de réussite :

Toujours fin février, nous prélevons des rameaux d’un an, pourvus de 3 à 5 yeux.

Img 5788.jpg

Nous nous munissons ensuite d’une bouteille en plastique.

Nous pratiquons une découpe du haut de la bouteille, sur environ 5/6 du diamètre :

Img 5791.jpg

Nous perçons plusieurs trous de drainage dans le fond de la bouteille

Img 5794.jpg

Et de la pointe du couteau, un petit trou d’aération dans la partie supérieure de la bouteille, à proximité du goulot :